Joseph Légaré


Légaré, Joseph, peintre, collecteur d'art, politicien (b chez Québec C le 10 mar. 1795 ; d là le 21 juin 1855).

À l'origine un peintre et un vitrier, Légaré sont devenus un peintre de fin-arts autour de 1819. Autodidacte, il n'est jamais allé en Europe pour la formation et a appris en copiant le travail de d'autres. Ses premiers efforts de diversifier son travail ont été couronnés avec le succès quand Société de Québec versent les sciences de DES de l'encouragement et en Canada d'arts de DES lui a donné une médaille de l'honneur (1828) pour son Iroquois par de les d'Hurons de Le Massacre des de peinture.

En tout il a peint plus de 250 huiles sur la toile ou le papier, incluant environ cent copies religieuses, portraits occasionnels, quelques scènes rurales et événements contemporains (épidémie 1832 du choléra de Québec et les 1845 feux), quelques tableaux historiques remarquables (La Bataille de Sainte-Foy 1854) et sujets indiens indigènes.

Légaré, qui a enseigné Antoine PLAMONDON, était le premier peintre Canadien-soutenu pour se consacrer aux paysages. Il a également ouvert la première galerie de l'art du Canada (en 1833), comportant sa collection personnelle de toiles et de gravures européennes ; elle s'est fermée en 1835.

De 1838 à 1840 et 1852 à 1855 il a encore offert à des amateurs d'art de ville de Québec l'accès à sa collection toujours croissante. Puisque 1874 l'ancienne collection de Légaré a été tenus dans Musée du Séminaire De Québec, qui tient également le corps le plus important du propre rendement de l'artiste. Légaré a travaillé sans cesse pour favoriser des arts fins au Canada inférieur, et après 1845 était l'un des plus grands défenseurs de la création d'une galerie nationale.

Un nationaliste canadien inférieur, il a inlassablement favorisé des buts humanitaires, sociaux et politiques. Ses activités ont inclus un travail assigné comme membre du conseil municipal de la première ville de Québec (1833-36). Un disciple fidèle de Louis-Joseph PAPINEAU, il a été arrêté pour sa partie dans les RÉBELLIONS de 1837, 4 ans après devenir des membres fondateurs de la SOCIÉTÉ de ST-JEAN-BAPTISTE de Québec.

Défait en tant que candidat dans les élections partielles de 1848 et de 1850, il a été nommé au Conseil législatif en février 1855, quelques mois avant sa mort.